"Ce qui est devant nous : c’est des nouveaux patients, qui n’ont jamais été malade mais qui ont été exposés aux conditions très stressantes et très anxiogènes de la pandémie avec pour conséquences de l’isolement social, des troubles du sommeil, l'augmentation des addictions, en particulier l'alcoolisme ou encore des violences à l'intérieur des maisons"
Marion Leboyer responsable du pôle psychiatrie de l’hôpital Henri Mondor
https://www.infirmiers.com/actualites/actualites/vers-deuxieme-vague-psychiatrique.html?Itemid=108
Soyez vigilants. Pas d'acceptation du mal-être.